Pas de doute
Je n’ai rien à demander à Weezer qu’ils ne me donnent déjà avant même que je ne le désire.
C’est officiellement aujourd’hui que je décide que je n’ai plus de doutes, c’est définitivement mon groupe préféré de tous les temps.
Je n’ai rien à demander à Weezer qu’ils ne me donnent déjà avant même que je ne le désire.
C’est officiellement aujourd’hui que je décide que je n’ai plus de doutes, c’est définitivement mon groupe préféré de tous les temps.
Petit à petit ça arrive, je range encore quelques vestiges, et puis en trouvant un quarter, une note d’ATM, je commence à réaliser, New-York quoi, certes, c’est assez courant comme voyage, on va même dire qu’après Paris, ça doit sans doute être la ville que les gens souhaitent le plus visiter dans le monde entier, c’est relativement banal, mais si je remonte à mes douze ans, c’est pas banal.
A cette époque, mes parents me laissaient pas trainer en colonie de vacances, on peut dire que j’ai passé de plutôt bonnes vacances, on allait un peu partout en France, beaucoup d’étés en Espagne, bref, j’ai pas été un frustré du voyage, mais c’était autre chose, les USA. Je suis pas né dans une famille hippie révolutionnaire anti-télé-anti-américaine, non pas vraiment, mes grands-parents ont vu débarquer les américains à Alger, et on m’a jamais répété que ces raclures impérialistes allaient détruire notre identité culturelle, alors, comment ne pas avoir été fasciné par les Etats-Unis ?
Je me suis toujours dit que j’irai là bas, non pas pour vivre, j’ai pas la prétention du rêve américain, mais depuis le collège, mes yeux sont tournés vers l’ouest, 80% de ma culture et sous-culture en est issue, mon travail, mes passions, tout a un rapport, sans être non plus une obsession qui m’aurait poussé à tout faire pour choper une green card ou épouser une cheerleader du middlewest, non.
Mon histoire a voulu que j’aille faire deux tours au Québec, mais j’ai pas réussi à me convaincre que j’étais allé en Amérique, il me fallait le real deal, un vrai voyage américain, et c’est pas faute d’avoir prévu des dates « l’an prochain », paf un déménagement et un compte vide plus tard, « on verra dans deux ans », paf la voiture cassée, un nouveau quake est sorti il faut changer le PC, bref, de recul en recul, j’en étais venu à me dire que voyager aux USA serait mon rêve qui arrivera un jour, celui qui en fait n’arrive jamais.
Le problème aussi, c’est qu’à force d’attendre 30 ans, j’ai vachement pragmatisé le rêve, la seule problématique qui s’est posée une fois que nous avons réservé les billets d’avion presque sur un coup de tête (on a décidé des dates et trouvé un logement en quelques heures), c’est comment faire en sorte que tout soit parfait, pas de temps mort, quoi acheter, ou aller, bien rentabiliser le temps, j’ai complétement perdu l’essence du désir primal de me trouver là où tout s’est passé, au pied des tours, sur les lieux même de la création culturelle qui m’a forgé, et de simplement m’imprégner du jus de bitume.
Une fois sorti du brouillard de l’avion sans retard et avec juste quelque tangage à l’aterrissage, New York était pas si grande, en fait, du moment où j’ai pu embrasser la skyline du regard, le cul enfoncé dans le taxi, j’ai plus été étonné de l’état de délabrement des tours d’observation de flushing meadows (mais si vous savez, celles de MIB) que des tonnes de gratte-ciels. En fait je les connais ces gratte-ciels, je les ai vu, par hélicoptère, la nuit, de l’Hudson, de la mer, de l’Espace, sous la glace, j’ai vu New York sous toutes les coutures, en fait. Blasé ? non, pas du tout, juste le gigantisme de New York n’est pas ce qui m’a le plus sauté aux yeux, ce qui m’a le plus surpris, c’est que justement, j’avais l’impression d’être chez moi une fois le pied posé dans la rue, là où finalement, je suis quelqu’un de normal, et pas un adolescent attardé qui dit des mots anglais et qui n’aime pas le foot ou le rugby comme tout le monde devrait, qui préfère le coca au vin, un burrito à un cassoulet maison. Et ça, ça m’a vraiment pris de court.
Rassurez-vous, plus tard, je me suis aussi aperçu que je n’étais qu’un touriste français, mais sans avoir la prétention d’être un rebelle ou un être différent, je me suis juste jamais senti à ma place parmi la masse franchouillarde, et même une fois débarqué au coeur d’Harlem, dans des conditions qui font que partout ailleurs j’aurais flippé ma race de petit bourgeois de banlieue aisée, je me suis bizarrement senti pas si différent, à vrai dire, j’avais plus l’impression d’être dans un lieu familier sur la 125th que dans la rue St Rome, pourtant on m’a demandé autant de fois une pièce ou d’acheter un truc.
Mais c’est comme ça, en plus impossible de se perdre dans une ville en quadrillage, où tout le monde vous parle comme si il vous connaissait depuis 30 ans, wassup man, how’you doin guy, des billets de 1$ plein les poches comme on traîne des bouts de papier, c’est un symbole en lui-même ce billet, le plus petit dénominateur commun de l’Amérique, et dire que j’en avais conservé un dans une boîte comme une relique, lui vouant une valeur inestimable, un dollar quoi !! A New York j’ai payé avec de l’argent qui coutait 0.7 fois moins cher que l’argent de mon salaire, pourtant chaque dollar posé sur un coin de table m’a comblé de plaisir en le dépensant.
Autant je déteste le metro parisien, en fait, il m’inspire la panique, le RER me dégoute, mais quand j’ai mis les pieds dans une rame de la MTA, c’était pas le palace, mais avec du recul, je n’ai pas pensé de tout le séjour une seule fois qu’une bombe pouvait exploser, chose qui m’arrive dans un trajet sur deux de RATP, merde, le metro New Yorkais, celui qui fait tellement peur dans tous les films, avec ses voyous à veste en jean déchiré, ses junkies avec des couteaux et des mitaines en cuir, en fait, il est mille fois plus accueillant que n’importe quelle ligne parisienne. Ca m’en donne honte de mon propre pays, ou plutôt de ma capitale touristique, Paris. Paris est comme un diamant recouvert de merde, quand je vois comment on traite un touriste dans les deux villes, comment 98% des New Yorkais du plus obscur chauffeur de taxi Sikh à la photographe du NY Times ont été plus accueillants que le plus sympathique des serveurs de bar à 10 Euros le coca de la capitale, je me demande comment on arrive autant à attirer encore les japonais. Oh je parle pas de sécurité ou de bombe, mais de la faune, de l’autochtone, un américain par définition aime les dollars, et il sait qu’un touriste heureux va dépenser tout son argent, tout est fait pour que tu laisses un dollar quelque part, mais sans jamais forcer la main, le tip par exemple, c’est bien pour te faire comprendre qu’il y a deux choses dans un service ; un produit, et une personne, et que si tu es pas content de ta bouffe, c’est pas pour autant que la personne qui l’a apportée est une grosse merde qui ne mérite pas son bonus. En France, le touriste est avant tout un géneur, il bloque le passage dans l’escalator, parce que putain t’es un putain de parisien pressé quoi merde, de plus il se déplace en groupe qui bloque les trottoirs, en bus qui bloquent les rues et fait la queue qui bloque l’entrée aux musées que de toutes manières tu ne vas pas visiter car c’est UN TRUC DE TOURISTE, Paris ne se rend pas réellement compte, trop occupée par un PSG dont personne passé la francilienne n’a aucun interêt, que sa vie économique est entièrement liée et dépendate de ses visiteurs, aussi bien de province que du monde entier, Paris est la pute la plus égoïste et irrespectueuse qui soit dans le monde, elle est bien habillée mais tire la gueule et prends cher, te fait une gâterie d’un coté tout en te laissant une maladie honteuse et te chasse à coup de pied au cul, New York est pas forcément la plus belle des putes, mais elle va tellement te faire sentir bien et toujours avoir quelque chose pour te faire plaisir comme tu veux et quand tu veux, qu’il est impossible que tu la quittes sans avoir envie d’y revenir.
New York a aussi été pour moi un des voyages avec le moins de « regrets », dans le sens où je l’ai tellement préparé, que finalement non seulement on a pu faire tout ce qu’on a eu envie, mais en plus flâner, trainer, dormir, un concert inattendu, une vidéo pour rigoler (avec des aller-retours deux soirs d’affilé à Times Square pour une scène même pas retenue au montage), bref, tellement tout, que le sentiment d’avoir loupé des choses que j’ai naturellement au retour de tout voyage était absent. Oh biensûr, je ne prétends pas qu’on ait tout vu de New York, loin de là, on a juste comblé le temps parfaitement avec exactement ce qu’on voulait, et ça, ça n’aurait pas pu arriver autrement qu’avec Elise et zouzouito, qui sont définitivement les meilleurs compagnons de voyage qu’on puisse souhaiter.
J’y ai même découvert de nouvelles facettes de moi-même, laissé une maladie nerveuse de deux ans là-bas, et ramené un virus pharyngien vraiment tenace, pour ce qui est du coté immatériel, je vous parle évidemment pas du coté matériel, mon compte en banque refuse encore de m’adresser la parole, mais il sait qu’il va devoir se renflouer, parce que les partenaires de voyage ont déjà des projets plein la tête, moi, je pensais qu’après les USA et le rêve américain, c’est l’Asie qui m’aurait attiré comme un aimant, mais non, même si c’est trois semaines après le retour que je prends pleinement conscience de ce que j’ai vécu, l’aimant américain fonctionne encore à plein, et maintenant, je n’ai qu’une hâte, que du temps passe pour que l’attente avant de réaliser une connerie de rêve de gamin très clichés sur les routes américaines devienne insupportable, au point qu’un jour, en quelques heures, on prenne une décision qui me ramène sur des lieux familiers, dans un pays familier.
Parce que pour Noël ou pour Pâques, c’est pas des rediffusions du Gendarme à New York ou de Maman j’ai raté l’avion, mais des créations originales basées sur Pratchett qu’ils diffusent ; Si vous avez raté il y a quelques mois le joli et correct Hogfather, vous pourrez le trouver en DVD ou en HD sur un votre bon site de ruisseau, sur lequel vous pourrez aussi dégoter jour par jour en ce long week-end de Pâques les 3 parties de The Colour of Magic (dont la France est le seul pays où le titre est traduit par « La 8e couleur », merci wikipédia), pour ceux qui sont fluents dans la langue de Pratchett, et aussi pour ceux qui ne connaissent pas encore l’univers du Disque-Monde !
Non mais Sean Astin en Touriste, en plus, que demander de plus ?
Je mets M6 ce soir, pendant que je joue un peu, et maledicione, j’entends la vieille voix de Mulder …. OMFSHIT Californication en français !!
Voilà donc pour une fois quelque chose qui me fait culpabiliser encore plus que d’habitude de ne plus bloguer, j’ai manqué de vous parler au moment de la diffusion US de cet OVNI plus que génial, et maintenant, vous allez le découvrir avec une vieille VF des familles ?
Ok bon je prèche à mon avis 3/4 de convaincus qui ont déjà maté les douze épisodes de cette première saison, mais j’en connais qui ont résisté on ne sait pour quelle étrange raison aux appels d’Hank Moody.
Hank, c’est Duchovny, le Duchovny Mulder de X-Files, oui, dans le meilleur de son jeu, le pince sans rire, le caustique, le cynique, le délicieux Duchovny qui met une grosse tannée à ceux qui l’imaginaient déjà dans les oubliettes d’Hollywood. Moody, donc, est un écrivain déménagé de New York à la côte ouest des neo-hippies, c’est un vieux beau en Porsche, vieille marque d’une époque révolue où il était un tombeur sans faille … non, attendez, Hank est TOUJOURS un tombeur, en fait, il a même juste à cligner de l’oeil et tout ce qui passe lui tombe sous la main. Le problème, c’est qu’Hank, il n’a d’yeux que pour son ex sur le point de se remarier avec un de ces californiens macrobio psychologiquement stable et physiquement sain, en gros tout le contraire de Moody, qui lui a toujours une clope collée à la lèvre, un verre d’alcool dans la main (la première finit souvent dans le deuxième d’ailleurs) et la bite dans une fille trouvée dans un bar une heure plus tôt.
Californication, c’est la revanche de Sex And The City, c’est d’ailleurs bien pour ça que M6 le passe aux même heures, des côtés provoc, des côtés gnagnan, mais des dialogues de Moody ciselés et percutants (en VO, damn it !), chaque épisode racontant un nouveau déboire lamentable de l’auteur, ou de son éditeur Runkle, qui aimerait lui aussi bien tâter de la jeune freluquette, mais il manque cruellement de ce côté Bad Boy qui plaît tant aux filles.
Au fur et à mesure de la saison, c’est même un sentiment d’énorme frustration qui nous saisit, le karma s’acharne sur Hank Moody, et tout ce qui peut mal tourner, tourne mal, et aucune petit baise ou même nouvelle voiture ne peut le soustraire à la malediction de l’auteur .. maudit.
Ok je sais que quelques lignes comme ça, c’est pas évident pour vous expliquer ce qu’est vraiment Californication, et si vous n’aimez pas Duchovny, vous allez avoir du mal à apprécier la série .. Mais voyons, nous sommes tous des enfants de X-Files qui avons grandi en adultes, et pour le coup, cette série est vraiment pour ces adultes là.
Merci d’avoir choisi American Airlines pour votre prochain voyage. Vos vols sont confirmés.
AHAHAHAHAHAHAHAHAHA NEW MOTHERFUCKING YORK HERE WE COME
Oui le machin avec les tics là qu’il faut faire sinon Brian de Solidaridad con Brian va revenir du monde des cauchemars pour dévorer tes tartines grillées du dimanche matin et répandre des miettes sur la moquette :
Les règles :
* Mettre le lien de la personne qui vous tag;
* Mettre les règlements sur votre blogue;
* Mentionner six choses/habitudes/tics non importants sur vous-même;
* Taguer six personnes à la fin de votre billet en mettant leurs liens;
* Aller avertir directement sur leurs blogues les personnes taguées;
1/ J’ai un doigt dans le nez. Tout le temps. Vous aussi si vous aviez des narines dans lesquelles un pouce peut rentrer, vous seriez pareil, et le pire, c’est que je le fait pas par habitude, mais parce que ça me gratte VRAIMENT tout le temps, du coup pas le choix.
2/ J’embête. Ma soeur, Elise, mon autre soeur, tout le monde, j’aime ça embêter, c’est irrésistible, et je déteste qu’on m’embête.
3/ Ce que je fais est mieux. Quoi qu’il arrive, quand je fais quelque chose, quand j’achète quelque chose, quand je découvre un nouveau site, c’est toujours mieux, avant, et supérieur.
4/ Tu te trompes. Vu que je connais mieux, tu te trompes forcément, c’est comme ça, de toutes façons je l’ai vu ailleurs avant, donc tu te trompes.
5/ J’ai un stylo dans l’oreille. C’est tellement bien, et c’est encore mieux quand il ressort un peu souillé pour pouvoir l’essuyer avec dégout sur un vieux mouchoir.
6/ Je crache. C’est pas ma faute, depuis des années, j’ai des molards dans la gorge, alors je suis bien obligé de les cracher.
Je tag personne, moi, je suis comme ça, j’aurais pu dire « je tag qui veut », mais non, je tag personne, je voudrais que la chaîne s’arrête à moi.
Un truc insupportable quand on est en voiture pour tout le monde, avoir un boulzor (© Mr_Peer) qui vous colle au train alors que vous roulez déjà trop vite ou que vous ne pouvez tout simplement pas faire autrement, bref, un mec dangereux.
Ma mère, dans sa grande sagesse de techniques anti-chiants m’a appris le simple et efficace mini-coup de frein brutal qui a l’avantage de faire vite comprendre le danger du collage, mais l’inconvenient que trop appuyé pour vous valoir la mort.
J’ai alors élaboré une technique basé sur mon experience, elle doit sûrement être utilisée de part le monde par d’autres personnes, mais j’aime bien me dire que j’ai trouvée tout seul, cela faisait déjà quelques mois qu’aucun débile n’était venu me coller, m’empêchant par la même de tester ma subtile technique ninja, hors, ce soir, coincé derrière un gros camion qui roulait à 80 (au lieu de 90 hein, c’est pas non plus méga lent), je prenais ma distance de sécurité, et, ébloui un instant (le gros con a souvent une BM aux feux de croisement trop relevés qui vous pètent les yeux), je regardai donc dans mon retro, et là encore miracle, je ne parvenais pas à distinguer même en m’étirant au maximum la plaque d’immatriculation de mon suiveur, vu qu’il était collé comme un suppo libidineux à mon cul.
La joie me pris, enfin, je pouvais tester in vivo ma fameuse technique du lave vitre : à 80 km/h, donner un coup de jet lave-vitre sur le pare brise avant entraine à coup sûr et selon le modèle de votre voiture et la vitesse du vent entre 20 et 80% du liquide lave vitre AU DELA de votre voiture, et donc sur le bitume EN THEORIE, car personne n’est censé vous suivre d’assez prêt pour prendre une bonne giclée dans la gueule.
Hors, le suiveur-colleur en BM reçut ma belle éjaculation de liquide odorant (il pue pas trop en ce moment) pile sur sa face, et, comme souvent le font les gros cons, provoqua un râlage+énervage qui obligea le malotru à RALENTIR, oui, et donc à me DECOLLER, merci ninja-technique, me permettant enfin d’admirer le merveilleux 75 sur sa plaque.
A ce moment-là, je ris donc à gorge déployée.
Prochaine étape de l’art du lave vitre : penser à décaller le jet sur l’exterieur, afin de ravir Messieurs les Roumains du feu d’une petite giclée lorsqu’ils se font un peu trop insistant avec leurs coeurs dessinés de leur raclette-éponge gavé je suppose de bonne pisse, en tous cas moi je pisserai dedans si j’étais un roumain.
Volé chez sironimo
RULES :
1. http://en.wikipedia.org/wiki/Special:Random (mon random pick)
Le premier article de la page est le nom de votre groupe.
2. http://www.quotationspage.com/random.php3 (mon random pick)
Les 4 derniers morts de la dernière citation sera le titre de votre album.
3. http://www.flickr.com/explore/interesting/7days/ (l’image que j’ai eue)
La 3ème photos, quelle qu’elle soit, sera votre pochette d’album!
Prennez la photo, ajoutez-y votre nom de groupe et le titre de l’album…Vous avez maintenant votre pochette d’album.
J’avoue j’ai eu de la chatte, en retentant quelques random, j’ai eu des trucs vraiment chelous !
/!\ Attention contrairement aux apparences, ceci n’est pas le blog de Pierre Ouziel
Il est difficile de se dire « je suis un early adopter », déjà, je n’habite pas à Paris et ne fréquente donc pas les soirées sponsorisées par des marques de High Tech ou de Téléphonie Mobile, ensuite j’ai pas la fièvre PDA et encore moins Internet Mobile 3G+ truc, pourtant, quand je me compare à mes amis, j’ai tendance à acheter à une fréquence plus importante que la moyenne des produits tels que lecteurs MP3, téléphones, consoles de jeu.
Suite à ma dernière acquisition, justement, j’ai ressenti le besoin de partager mon experience avec ARCHOS ces quelques dernières années.
Tout d’abord, pourquoi ARCHOS dans un monde d’iPod ?
En cherchant à remplacer les MiniDisc que j’utilisais à l’époque (c’est début 2005) et voués à disparaître, il me fallait une solution simple et ouverte pour mettre un bon paxon de MP3 issus de ma CDthèque (on y croit tous) et mon critère premier était un espace disque suffisant pour stocker une grosse partie de ma collection, donc oubliés les petits cacas à 512 Mo, et le second était l’interoperabilité, précisement le coté ‘je le branche n’importe où et ça marche’. Inutile de dire qu’Apple était déjà hors course, l’obligation d’utiliser iTunes à l’époque le rendait nettement moins attirant, et c’est d’ailleurs encore un gros point négatif des iPods. Après quelques hésitation pour un Creative Zen (ils les faisaient en 30 et 60 Go), j’ai l’occasion de tester un Archos et là c’est le coup de foudre, c’est exactement ce que je cherche.
Première victime = l’Archos GMINI220 (acheté en avril 2005)
Trouvé sur cdiscount par hasard à un prix défiant toute concurrence, mon premier vrai lecteur MP3 est donc ce petit carré bleu marine de 20 Go, et je pense le début de l’amour que je porte à Archos. L’appareil va me suivre partout pendant des années, tomber par terre, se rouler dans la boue et subit tous les outrages du temps, sans trop broncher.
Pros : le gmini se branche sur un port USB et est reconnu comme un disque externe par la plupart des OS, on peut alors transférer les mp3 dans des répertoires comme on le sent, perso j’ai classé par artiste et ensuite par album pour les premières fois, en re-taggant tous mes mp3 pour un affichage plus simplifié. Le jour du déballage de l’appareil, bonne surprise, il a un port CompactFlash Hôte, c’est à dire que je peux sortir ma carte CF de mon Powershot A40 et la vider direct dessus, je ne compte plus le nombre de fois que j’ai utilisé cette fonction sensationnelle, c’était tout simplement génial et simple à la fois. La musique peut être écoutée en utilisant les classements classiques issus de l’idtag, ou directement en browsant le disque dur, ce qui selon moi est bien plus pratique quand on utilise des morceaux downloadés à droite à gauche et mal taggés. Mon mode de lecture favori est Random sur tout le lecteur, même si sur le 220 il avait tendance à réduire d’un tiers l’autonomie du lecteur. Le chargeur Archos, surement pour le coté pratique, il est équipé de 3 normes de prises : Euro, UK, US, c’est excellent lorsqu’on voyage dans ces pays, car inutile de se faire chier avec une prise transfo, tout est là.
Cons : la batterie a tendance à vraiment peiner au bout de deux ans, le disque dur gratte gratte, et je soupçonne cdiscount de m’avoir revendu un refurbished, et malheureusement lorsque j’ai voulu en changer, le numéro de série était effacé ce qui m’a empêché d’utilise le système de reprise d’archos, qui était plutôt interessant. La prise USB est une mini USB qui sert aussi à brancher l’alimentation via un petit dédoubleur, c’est pas très pratique et il ne faut surtout pas le perdre, mais l’utilisation au quotidien était assez simple vu qu’on avait quand même 5-6h d’autonomie en moyenne. Toujours pareil en fin de vie, la prise mini-jack déconnait et avait quelques faux contacts, la visserie dans les parties plastique n’a pas tenu le temps non plus, ce qui est logique .. Les touches sont cheap et ont la réputation de mal vieillir, aucun problème pour moi, même si les logos se sont effacés à l’utilisation.
Pour moi ce fut le déclic, à partir du moment où j’avais cet Archos, pour moi tous les gens possédant des iPods étaient des débiles dégénérés complétement soumis à la communication ravageuse d’Apple … pourquoi acheter un truc 1.5 fois plus cher, qui plante en permanence et qui vous force à utiliser une interface propriétaire, avec des cables propriétaires, alors qu’un produit français et excellent attends dans le rayon de votre FNAC ? Aucune idée …
Deuxième victime = l’Archos Gmini500 (acheté en décembre 2006)
Après mon séjour en Algérie où le Gmini220 nous a encore rendu un bien fier service de sauvegarde de photos, je prévoyais de partir à Montréal pour 15 jours, ceci signifiant 12h de voyage, et mon pauvre Gmini n’allait pas pouvoir suivre la charge, je me décidais donc de changer d’appareil, notamment en mirant vers les baladeurs videos. Pour la forme, je regarde encore du coté d’Apple, et là miracle, leurs prix ont carrément baissé, et ils semblent presque abordable au point de vu capacité/prix, malheureusement, je n’ai pas 200h de re-encodage à passer, et qu’ils ne lisent pas les vidéos que le commun des mortels utilisent restait encore un mystère pour moi, donc sans hésiter, j’ai cherché du coté d’Archos.
En cette période, c’était la génération 4 (704, 604, 504, 104), des baladeurs vidéos assez évolués, mais encore un peu chers neufs, je fouillais donc le matos d’occasion sur Internet, Priceminister et eBay en tête, et trouvait à un prix encore une fois dérisoire un Gmini500 vieux d’un an soit, mais donc l’écran et les touches avaient été changés récemment, je fonce dessus et c’est vraiment sans regret !
Pros : on ne compte plus les avantages … le Gmini500 lit les divx standards, oui ceux que vous trouvez sur Internet mais que vous dites que c’est pas vous qui les avez téléchargés mais votre petite soeur, il lit le Xvid, et l’écran est de la taille que je considèrerai minimale pour regarder une video pendant plus de 10 minutes, l’autonomie est bien plus importante que le 220, 12h de musique et un peu moins de 5h de vidéo, c’est largement ce que je pensais suffisant pour mon trip à Montréal. Là encore la connexion à l’ordinateur se fait par mini-USB, l’appareil est reconnu comme disque externe, et avec ses 40 Go je m’en sers d’ailleurs en grande partie comme ça pour transporter des données à droite à gauche, et si j’oublie mon cable, tout le monde a un mini-usb qui traine (en général). Toujours mon mode préféré de lecture reste le Random sur toute la collection, je peux ajouter un fond d’écran sexy (une fille avec une chapka), et comble du bonheur, un cable est fourni pour connecter l’archos à une télé, histoire de mater un petit film dans un hotel ou chez mes grands-parents qui n’ont pas de lecteur DVD, et vu que l’écran n’est pas mis à contribution, la durée de vie de la batterie tient plus de celle de l’écoute de musique que du matage de video .. Encore une fois, dans la boîte, ce fameux chargeur Archos multi-normes.
Cons : comme on me l’a souvent répété, l’Archos est un magnetoscope numérique, et son pendant VHS, il a gardé ses caractéristiques principales ; il est volumineux et plutôt lourd, ce qui en a fait un gros défaut pour de nombreuses personnes … C’est vrai que pour simplement écouter de la musique, se trimballer avec rappelle l’époque des walkman cassette avec casque à mousse orange. Les boutons encore une fois font très cheap et ils le sont, même changés par des neufs, ils commencent à montrer des signes de fatigue au bout d’un an. L’Archos a une fonctionnalité USB-Hôte qui pourrait remplacer le lecteur de carte CF du 220, malheureusement, de tous les appareils que j’ai connecté dessus, un seul a fonctionné et encore très lentement. Dommage aussi que le lecteur lors de transfert USB ne s’alimente pas via ce moyen, ce qui aurait évité de vider la batterie aussi rapidement lors de transferts de fichiers.
Le Gmini500 m’a comblé pendant plus d’un an, jusqu’à ce que gavé de tout mon argent que je ne dépense plus dans le paintball, je me prenne l’idée d’en changer pour une génération 5, ces fameux lecteurs Wifi et tactiles censés renverser Apple.
Troisième Victime : l’Archos 605 Wifi (acheté en janvier 2008)
Ma volonté cette fois, c’était d’avoir du neuf, et pas de l’occasion comme le Gmini500, malheur m’en a pris, parce qu’en biddant un peu par hasard une somme ridicule quelques heures avant la fin d’une enchère que je ne pensais jamais gagné, je me retrouve avec un 605 30Go, alors que j’étais prêt à investir dans un 80Go à peine plus cher port compris aus STATES DE L’AMERIQUE (vive le dollar et USPS Express qui zappe les taxes). Bon je vais pas m’en plaindre non plus vu la petit somme qu’il m’a couté, il se trouve que l’appareil était bien neuf et sous blister, mais c’est une version Canadienne (CA sur le n° de série au lieu de F), ça ne change strictement rien en pratique. Cet Archos est vraiment joli, je veux dire, par rapport à mes deux précédents qui ressemblaient à deux morceaux de métal bruts, cette fois on sent le produit un peu plus fini.
Pros : l’écran est vraiment de meilleure qualité que le 500, plus large, et plus mat, l’Archos est aussi plus fin, je dirais au moins d’un demi centimètre (il parait que sur les version 20, 40, 80 et 160Go ce n’est pas le cas), par contre il est plus large, mais de longueur strictement identique, les boutons sont moins cheap, et il y a enfin une touche « on/off », le mode Wifi est super easy à configurer, et on peut faire de l’Internet multimedia avec un Opera un peu lent mais qui lit très bien du flash, comme des vidéos Dailymotion ou Youtube par exemple (on en reparle plus tard)
Cons : alors là déception, j’ai lu un article qui parle de la politique d’Archos qui vise à rivaliser sur le même plan qu’Apple en cassant les prix et en transformant des fonctionnalités anciennes en accessoires, autant dire que c’est complétement hérétique pour un habitué de la marque comme moi ; finis les chargeurs secteurs, il n’y a même pas de prise pour le fameux chargeur multi-normes, seulement des connexions pour la docking bay payante, ce qui signifie que oui, cet Archos se recharge par USB, seulement vues les caractèristiques de la batterie et de l’alimentation USB, celui-ci met 12h pour se recharger entièrement, même en utilisant une prise USB-220V, pour pouvoir retrouver les 3-4h de temps de charge des anciens modèles, il faut utiliser une docking bay payante … Et ce n’est pas fini, la connexion USB se fait via un cable propriétaire, truc complétement hallucinant que je ne comprends toujours pas, un tel recul me paraît tellement stupide ! Encore une fonctionnalité qui disparaît au profit de la docking bay, la connexion sur une télé n’est pas disponible à la sortie de boîte, pas de cablage ni rien, tout en option. Pour finir, je parlais du Wifi et d’Opéra, j’avais juste omis de vous parler du prix = 30 Euros supplémentaire pour l’activation d’Opéra et du plug-in Flash qui est déjà de base dans le lecteur ! De même Archos propose pour 20 Euros chacun deux autres packs de Plug-ins videos pour le MPEG2 + AAC pour l’un, et H264 + AC3 pour l’autre, autant vous dire que je me suis déjà senti floué en perdant 30 Euros pour une docking bay pour retrouver mes anciennes fonctionnalités du Gmini500, donc j’allais pas en rajouter pour le plaisir de lire des formats que je réserve à mon PC, et encore, pour la docking bay, j’ai pris la moins chère, il faudra débourser 100 Euros pour celle qui a la capacité de transformer l’Archos en magneto numérique, fonction intégrée dans le lecteur mais inutilse sans les connecteurs optionnels …
Alors oui je fais un peu mon vieux mécontent, même si globalement j’aime mon nouveau lecteur, mais je me demande si en arrivant maintenant et sans avoir déjà l’habitude d’Archos, je me serais dirigé vers eux en premier lieu … Evidemment la qualité des appareils est excellente, et j’aime toujours autant la facilité d’utilisation, et même si l’écran tactile n’est qu’à un seul point contrairement aux iPod Touch qui en ont deux (oui vous savez pour zoomer en écartant les doigts), Archos reste selon moi le leader du balladeur multimedia, après, si effectivement ils ne mettent que 400 000 Euros dans leur branche marketing contrairement à Apple qui en met plutôt 15 Millions, c’est certain que tous les boulets de l’univers vont encore longtemps se fader iTunes et leur petit casque blanc en ignorant ce qu’ils peuvent avoir comme alternative …
Quelques jours avant la release officielle, la beta de Ginger de Netvibes est disponible en test pour quelques privilégiés sélectionnés parmi les créateurs de widget et d’autres invités via Facebook, vu que ça fait un moment que j’ai envie de faire un post lèche fesse sur Netvibes que j’utilise 24h sur 24 7 jours sur 7, et dont j’aurais du mal à me passer, c’est bien l’occasion de partager avec vous mon passage à Ginger.
Au préalable, voici l’utilité principale de mon compte Netvibes :
Un onglet d’accueil, qui réunit des TODO List pour le boulot, la maison, le paintball, une Note IOU et UOMe, le planning de diffusions des séries US, mes comptes hotmail et gmail, la watchlist eBay, quelques RSS, la météo.
Le 2e onglet est dédié aux blogs BD et à MySpace et Facebook.
Le 3e onglet est l’onglet News locales, avec des infos uniquement sur Toulouse et ses environs, La Dépêche et 20minutes donc principalement.
Le 4e onglet est dédié au boulot avec des flux sur le développement web, des trucs que je lis quasiment jamais en fait malheureusement …
Et finalement le 5e onglet n’est pas des moindres, vu qu’il y a dans les 15-20 nons-lus par heure qui se rajoutent, c’est l’onglet spécial Pixelstar avec toutes les news peoples US qu’Elixie et moi utilisons, et c’est en fait ce que j’éspère mettre en avant avec Ginger.
Première étape pour Ginger : avant de se connecter, un petit formulaire à remplir, maintenant chacun possède son univers perso, quelques infos et il est créé, Netvibes se dédouble entre un « Univers » accessible au public, et une page privée, identique à la précédente version, si ce n’est une petit barre supplémentaire.
Alors qu’est-ce qu’on peut faire de nouveau ?
En fait la révolution vient simplement du passage public d’un Netvibes que vous crééz vous, par exemple, moi qui suis en train de poster sur 3 sites à la fois en ce moment, je vous présente ma page Netvibes qui contient les flux de ces 3 sites, si vous êtes un gros fan de moi et que vous êtes aussi sur Ginger, vous pouvez m’ajouter comme ami, et même importer dans votre page privée (ou publique) quelques uns de mes flux et de mes widgets.
La différence avec Facebook ? Ici on ne reste pas dans un univers clos et restreint, composé de vampires et de ninjas, mais la page Netvibes à votre image est composée principalement d’objets « exterieurs », nul doute que plus tard apparaîtront des widgets spécifiques (des ninjavibes ?), mais le gros interêt reste justement pour le nono standard de partager sa pelote de flux, ses réseaux sociaux et des randoms lolcats.
Le système d’amis est très simple, il vous permet d’aller pêcher des updates de statut, mais aussi de partager des liens à voir parmis vos flux privés ou publics, peut-être encore plus de choses, mais actuellement je ne vois rien de plus. Ajouté à ça un système de Followers, en fait des personnes qui ont consulté vos updates de status, sans forcément être parmi vos amis, évidemment tout cela concerne uniquement les utilisateurs inscrits à Ginger, même si votre activité est disponible en flux RSS public.
J’ai d’ailleurs du mal à me connecter à ma propre page publique, aucun idée s’il s’agit simplement d’un problème de publication ou si les univers récents sont uniquement disponibles pour les testeurs … Vu que j’ai réussi à voir celui de MonsieurLâm il y a quelques jours, je vote plus pour une histoire de publication, en attendant vous pouvez tester si cela fonctionne chez vous en cliquant sur l’adresse http://www.netvibes.com/trem_r.
Merci Peerou, mon Univers Netvibes public est visible à cet URI : http://www2.netvibes.com/trem_r.
Quelques images :
Alors devinez, ce matin Elise est revenue du Canada, et elle est toujours aussi jolie et en plus elle m’a ramené un t-shirt Tortues Ninja, ce qui est forcément génial, sans compter les Muffins au bleuet.
Il arrive aussi qu’en ce moment j’ai de grosses envies de nouveau layout, de poster sur gaming et de dire du mal sur Pixelstar.
Il faut évidemment que ça tombe durant la période où mes cheftains ont décidés d’enfin nous imprimer un planning clair pour les 3 mois à venir. Chargés.
Ah oui et ça y est con, je fonce vers les 40 ans ..
Ce qu’on retiendra en cette nouvelle année c’est que l’interdiction de fumer n’est pas encore valable dans les lieux privés.
La prochaine étape du combat de nous, les enquiquineurs non-fumeur qui auraient aimé dormir un peu plutôt que répandre leur gorge et leurs poumon jusqu’à 10h ce matin.
Contrary to popular belief, Japanese adult movies aren’t censored, thats just what their penises look like. You see Japanese have a natural cloaking field originating from their genetalia, which can also be expanded with some practice. That’s why they made such good ninjas.
— Anonymous
Quand j’étais petit j’étais fan comme vous tous du Flic de Beverly Hills. Le 1 et le 2, le 3 c’est déjà les années 90.
Eddy Murphy et son doubleur français bien cliché « là dis-donc », c’est presque aussi important qu’à la Poursuite du Diamant Vert ou que Commando et Predator, voire Piège de Cristal et Karate Kid.
Retrouvez aussi :
Viggo des carpates et son ami Janosz
Gozer Le Destructeur et Louis
Le Colonel Trautman
Dalton et Bodhi
Choco, Cynoque et tous les autres
Bref toutes les années 80.
Merci à la nouvelle colloc de toutankh, nièce d’Hans Gruber et donc proche de Karl pour m’avoir permis de découvrir ce petit monde caché.
La nouvelle tendance culinaire de cette fin d’année, chez nous, c’est le bouritoss.
Il est venu discrètement d’abord sporadiquement lors de soirées conviviales, puis, débuta une période où je décidai que mon seul régime serait un steack haché + un yahourt + une pomme à midi, histoire perdre la bouée comme on dit de par chez nous con.
Force est d’avouer qu’il manque un peu de légumes et féculents à ce régime, là alors, après une soirée bouritoss bien remplie, m’est donc venu la bonne initiative (bonne parce que c’est bon un bouritoss) de plutôt me préparer deux bouritoss à chaque fois que c’est possible, ceux-ci étant simplement constitués comme suit :
– 1 Steack Haché, allez, prenez du 5% c’est bon pour la bouée
– 2 Feuilles de Salade genre laitue, nous on aime bien l’iceberg
– 1 demi tomate
– 2 Galettes de Maïs, Blé ou ce que vous voulez, même si y’a marqué Fajitas ou chaipaquoi dessus, c’est bon, petite préference aux version « Salsa » de Old El Paso, mais en général même les petits supermarché ont des versions budget de ces galettes
– un peu de fromage rapé
– du ketchup pour assaisonner, mais vous pouvez y mettre du truc vert à chips là qu’est pas bon
A noter que les boîtes Old El paso vous proposent de la poudre à épicer, et de la chunky sauce, mais que ce n’est pas indispensable pour simplement un petit bouritoss du midi rapide oué oué tu vois t’as vu.
Pour la préparation c’est pas dur, sinon j’en ferais pas, on fait cuire le steak haché en petit bouts, une fois cuit et bien vidé de son eau sinon c’est dégueu, une galette au micro-ondes 30 secondes, une couche de salade, des morceau de tomates en dé, la moitié du steak haché, du ketchup ou autre sauce, et du fromage rapé, on plie ça comme un lit en portefeuille, et on bouffe ça rapido avant la fin de l’épisode de Aliens in America.
Enjoy your bouritoss.
Toi qui te languis de nouveauté, voici que Rivers Cuomo va sortir le 11 Décembre sur Geffen une compilation de demos qu’il a enregistré de 1992 à nos jours, il y a déjà un petit extrait sur le MySpace ultra select de Rivers, et il nous incite même à acheter le CD plutôt que le mp3, le rendu y serait meilleur (c’est bien la première fois que j’entends ce genre d’histoire).
Au début de l’année, je lurkais les petites annonces de ToulouseWeb pour me trouver un auto-cadeau pas mal, et en fait je trouvais une vieille 360 déjà ouverte à un prix ridicule et dérisoire, zoup, un tour chez le vendeur et quelques Euros en moins plus tard, me voilà avec la console à la maison mais, ce fut le premier pas vers la Haute-Définition.
(attention tout le post qui suit est une description pas à pas de comment j’ai monté mon petit home cinema HD, c’est chiant pour ceux que ça interesse pas, et aussi pour ceux qui connaissent déjà toute l’histoire, je vous invite donc à aller ailleurs plutôt)
L’idée de base était de pas trop jouer à la X360 sur mon ancienne télé Grundig 60 cm à tube, histoire de commencer direct en haute-définition, et ça tombe bien, ça faisait quelques mois qu’un pote me parlait de ces fameuses télés Samsung HD à tube aussi, mais surtout bien moins chères que du LCD, pour une qualité d’image identique voire supérieure.
Donc après quelques recherches sur Internet, quelques forums qui en disaient le plus grand mal, c’est chez But et après de petites négociations dudit pote pour un double achat que je me retrouve avec un Samsung WS32Z419T noir, téléviseur à tube avec YUV et HDMI, je parlerai plus tard du cablage et de l’interêt de ces connecteurs.
A la maison, gros changement, vu que le téléviseur pèse quand même un dead donkey comme dirait le poète, et qu’il fait quand même 82cm, mais assez bonne suprise, sa profondeur est plutôt ridicule, et il ne chauffe pas autant que les forums le disaient, je teste le signal de la péritel de ma freebox (on n’a qu’une v4), c’est propre, et je n’ai pas la déformation tant décriée sur les forums aussi, c’est donc une bonne nouvelle.
Deuxième test = la XBOX avec XBMC et un jeu, pour l’instant en peritel, et là enfin je commence à voir les quelques deformations, ça me rappelle les premières fois où je devais régler mon écran CRT sur mon PC, il y a des effets coussinets sur les bords verticaux, ça va ça empêche vraiment pas de visionner un film ou autre chose, le rendu est assez bon, seulement, j’ai cette impression de scintillement flou assez désagréable lié au peritel, et comble de joie, j’apprends qu’il existe un cable pour la HD pour la XBOX.
C’est là qu’on parle du YUV, ou de cables composante (et pas composite), ou encore YPbPr ou je sais pas quoi, bref 3 câbles vidéos, un rouge, un vert un bleu, et souvent liés à un rouge/blanc pour de l’audio. Je vais pas vous embrouiller avec toutes les explications d’un signal vidéo, tout simplement parce que c’est complexe, hermétique, et que je n’y ai pas compris grand chose, toujours est-il que si vous devez comparer une qualité de signal, le composite (jaune) est inférieur au YUV, et les cables composantes ont la capacité de transporter des signaux numériques que nécessitent la HD.
Ce sont justement ces cables qui sont livrés avec la X360, et qui m’ont permis un premeir test en Haute Définition, 720p et 1080i (j’avoue ne pas avoir vu une différence très flagrante lors des jeux entre les deux modes, je suis actuellement en 1080i).
Evidemment je sortais d’une réference de beau jeu comme Prince Of Persia T2T sur XBOX, là, autant dire que j’étais rapidement sur le cul par Lost Planet ou Gears of Wars, c’était au delà même de ce que je pensais voir visuellement sur ma télé, je trouvais et trouve toujours que la luminosité bien différente de l’écran à tube donne un aspect plus cinématographique à l’image de la console par rapport à cet aspect « plastique » qu’offre un LCD.
Le problème à ce moment là fut double :
1. Je ne peux plus jouer sur mon PC car avec sa GeForce 6600 il est ridicule
2. Je me demande ce que va donner la XBOX et XBMC connectée en YUV
Mais voilà, le mode HD de la XBOX ne fonctionne que si elle est switchée en NTSC, heureusement les consoles pucées ont cette facilité de changement et d’utilisation, le problème reste que Microsoft n’a jamais distribué en Europe le Fameux HD TV kit pour XBOX ! Du coup, impossible de trouver à une période où cette console se meurt ce fameux kit, j’ai cherché chez les asiatiques, de pâles copies aux critiques lamentables sur le net, heureusement, eBay, et un peu de patience, et c’est même deux kits officiels que je trouve à un prix tout de même exorbitant, vu la valeur actuelle de la console : 45 Euros !!
Bref, dans mon idée fixe de mater enfin en HD toutes les séries et les films que je peux sur XBMC, c’était une bien piètre contribution. Une fois le matos reçu, il faut quelques réglages pour que XBMC soit net et bien cadré, mais l’image est bien supérieur à la peritel, c’est indéniable, niveau video aussi c’est plus interessant mais … les connaisseurs auront titillé plus tôt, de la HD sur XBMC ?
Et bien non, ce n’est pas possible … en effet, la XBOX n’est pas capable de décoder les fichiers en haute définition, elle se contente donc d’upscaler les videos que l’on trouve sur le net labellées « HDTV » qui sont généralement de résolution inférieur à 720p, et quand on lui donne de ces fameux mkv encodé en h264 labellés HDTV.720p, la console peine à décoder voire plante carrément !
A vrai dire, je m’en suis contenté pendant un long moment, jusqu’à ce que ça fasse *TING* : la connexion HDMI !
La télé possède une prise HDMI, et malheureusement à l’époque, pas ma 360, ni mon PC, alors que faire ? Tout simplement ma 6600 possède une sortie VGA standard, et une sortie DVI que je n’exploite pas (j’ai encore un vieux 19″ IIYAMA CRT <3 love <3), et des cables DVI-HDMI d’une dizaine de mètres se trouvent relativement facilement soit sur eBay soit chez votre revendeur de cable préféré, et inutile d’aller chercher un cable en or massif, un simple cable suffit largement à conduire le signale dans de bonnes conditions.
C’est donc avec émoi que je branche ma télé via le port DVI à mon PC, et un coup de nView pour régler l’affichage (je préfère étendre le bureau sur la télé afin de pouvoir faire tourner une vidéo et faire d’autres conneries pendant ce temps), et miracle !
La XBOX et XBMC sont définitivement obsolète, je règle l’affichage sur 1280*720 et le signal est parfait.
Une petite parenthèse avant de parler de l’audio : Il n’a pas fallu brancher que la X360 et la XBOX sur la télé, mais aussi la Wii et la PS2, j’ai aussi investi dans un cable pourri (4 Euros sur Play Asia) pour la PS2 qui possède certains jeux en HD et un cable officiel jap (20 Euros) pour la Wii qui elle, est censée posséder un nombre important de jeux 480p (une honte) et qui pourtant persiste à afficher des jeux moches, en fait, je crois que même la HD ne peut rien arranger à la pauvreté graphique de cette console, et ce n’est pas le dernier Raving Rabbids qui pourrait contredire ça, on avait pas vu autant d’aliasing depuis la PS1.
Pour brancher tout ça sur une seule prise YUV sur la télé, c’était la galère à chaque changement, bien chiant, et donc toujours sur Play Asia, ou ailleurs, jen’ai pas d’actions là bas, je vous conseille l’excellente YPbPr Powerbox qui coute même pas le bol de riz du petit chinois qui l’a montée et qui a résolu tous mes problèmes de branchement autant video qu’audio, sans aucune perte de qualité malgré l’aspect un peu cheap des composants, je n’ai eu aucune deterioration du signal.
Voilà, fin de la parenthèse, attaquons maintenant le deuxième aspect d’un Home Cinema respectable : le son.
Alors halte aux puristes qui veulent de la belle enceinte en ronce de noyer rare des forêts vierge du Laos, jusqu’à présent je tournais avec un kit 2.1 Thrustmaster à 15 Euros que je trouvais fantastiquement bien, c’est pour vous montrer le niveau d’exigence que j’ai point de vue audio, le problème étant surtout de connecter facilement mon PC au kit, qui lui fonctionnait avec une entrée Rouge/Blanc (on dit CINCH).
Premier truc auquel j’ai pensé logiquement, un câble R/B d’un coté, mini-jack pour la sortie casque de la carte son, de 10m de long. Ca aurait très bien marché ! Seulement avec tout l’argent que j’avais sur le compte, et vu sur quelle lancée j’étais parti, j’ai investi dans un petit système Home Cinema rapidement … et oui, c’est le mal, l’argent.
Seulement avant de faire mon choix, j’avais quelques exigeances : déjà, pas de système à la con avec un lecteur dvd/divx à deux balles pour me vendre des enceintes à 4 fois leur prix, l’interêt était d’avoir un ampli autant audio que video, avec lequel je puisse gérer à distance le changement de sources coordonnées, et pour cela à un prix dérisoire j’ai trouvé un kit avec l’ampli Yamaha RX-361 et des enceintes+caisson sûrement nazes pour un mélomanes mais absolument géniaux pour moi.
L’avantage de l’ampli, c’est ça :
3 entrées YUV, couplées aux entrées CINCH Stereo, mais aussi 3 entrées numériques donc deux optiques et une RCA (ça aura son importance plus tard) optique, pour un peu moins de 300 Euros, ce qui m’a semblé honnête, et encore plus maintenant que j’en ai un peu profité.
Les premiers branchements ont été quelque peu fastidieux, le but étant de tout connecter correctement pour qu’un simple changement de « mode » sur l’ampli permette de switcher d’une console à l’autre principalement, et là encore pour connecter les deux XBOX, je dois faire appel à ma YUV Powerbox, vu que je m’aperçois malgré moi qu’une seule entrée optique est switchable et liée à une entrée video, et que j’utilise cette interface avec les deux consoles.
Optique .. optique … une fibre optique ? Oui, pour l’audio, j’étais persuadé comme un mythe, que la seule manière de transmettre du son numérique en 5.1 était ce fameux cable TOSLINK, de la fibre optique qui coute bien cher au mètre, jusqu’à ce que je découvre encore un nouvel acronyme = SPDIF.
WTFBBQizzdat ?? Le standard qui sauve.
J’avais commencé à regarder sur Internet les nouvelles cartes sons Creative Labs machin 27.1 parce que j’étais persuadé que ma merde vieille de 4-5 ans ne serait pas capable de ressortir de la qualité suffisante, et là, surprise, ma carte son s’appelle Sound Blaster Live 5.1 ! oooooooh miracle, alors, sur quoi je branche mon cable optique ? gnngnngnnégngné .. rien, je vois que des connexions mini jack pourrites et un port joystick (yeeeeeeeeha), je vois bien ce trou orange « Digital Out », mais comment faire passer du son de ça jusqu’à l’ampli ? S’en suit des heures à chercher des cables spécifiques SB Live made in Creative, rien sur eBay, rien en Chine, rien d’équivalent, mais comment chercher ça sur Google, j’allais abandonner pour me résigner à utiliser mon mini-jack R/B pour faire de la stereo simple, jusqu’à ce que je tombe sur ce Mot Magique SPDIF sur … la sortie Audio de ma carte mère. Oui, ma carte mère a une carte son AC’97 6.1. Comme toutes les cartes mères depuis des années.
C’est donc d’un coup que le poids des années me tombe sur le dos, je suis à la bourre d’une eternité numérique, un coup de Wikipedia, et je comprends que la sortie RCA orange de ma carte mère est bien une sortie numérique, oui, ce cable ancestral qui n’est pas OPTIQUE permet bien de transporter de l’audio numérique, mais .. il y a bien une entrée SPDIF RCA sur mon ampli, serait-il possible que …. OMFG j’ai besoin d’un cable RCA, j’ouvre mon tiroir à vieux cables de merde, et là au moins 5 cables jaunes issus de vieilles cartes vidéos, appareils photos, videos, archos etc que je conservais « au cas où », et malheureusement, pas un qui dépasse le mètre, et tous mâle-mâle… il est 23h50, comment vais-je tester ça ?
Miracle, pour me faciliter les connexions/deconnexions des consoles sur le vieux kit Thrustmaster, j’avais acheté une rallonge d’1m50 R/B mâle/femelle, c’est du RCA, serais-ce possible que …je tente le branchement, vieux câble RCA jaune (du cable pour la video composite), connectée à une rallonge de carouf à 5 Euros, pif pouf, je lance un son 5.1 sur le PC … ça marche pas.
Normal, j’ai jamais installé de pilote pour cette carte son moi, c’est la carte son de merde intégrée !! 20 minutes d’installation et de configuration plus tard, le signal passe, l’ampli reconnaît bien du 5.1 au bout \o/ WINNAGE \o/ la qualité est sans parasite, nickel, avec du câble tellement piètre que je pensais le jeter 15 jours auparavant.
Dans ces moments où de la technologie moderne repose sur des supports qui ont 40 ans, on sent la puissance de la vie (rien que ça).
Alors voilà, tout est techniquement prêt pour du home cinema de qualité, haute définition et 5.1, il est temps de profiter un petit peu du matériel avec quelques videos bien senties.
Souvenez-vous quand vous avez téléchargé votre première série en htdv-lol.avi des fichiers de 350 Mo pour un épisode !! Woaw ! Si vous aviez senti l’envie d’en mettre un coup de plus avec du HR-HDTV.CTU.avi, c’était 700 Mo, déjà une bonne dose, l’équivalent d’un dvd-rip pour seulement 40minutes de 24, et bien préparez-vous à passer encore à la vitesse supérieure avec les 720p.hdtv.x264-nbs.mkv 1.07 Go l’épisode de 42 minutes, 580 Mo pour 22 Minutes, et bien préparez-vous à débourser encore quelques Euros pour un disque dur d’1 To, car même si nous sommes encore aux balbutiements, les HDDVD-Rip et les BluRay-Rip font leur apparition, entre 4 et 8 Go selon la qualité ou la résolution (720p ou 1080p), et encore ce ne sont que les rips, les iso atteignent leurs gentils 50 Go, mais bon, qui a un graveur BluRay pour le moment ? Pas grand monde ..
Arrive donc la dernière partie de mon post de 800 km que personne n’aura lu jusqu’au bout, comment lire tout ça ? Et bien à priori avec un PC à peu près correct, dumoins pour 720p, 1080p est vraiment gourmand, Media Player Classic semble être le player de choix du plus grand nombre, notamment car la configuration de l’audio et des codecs videos et facile d’accès, moi j’apprécie aussi l’incrustation des sous-titres qui est mieux gérée que VLC, qui chie encore beaucoup sur la sortie SPDIF si on la configure pas correctement avec un paramètre chelou. Néanmoins, même avec ça, il a fallut que je re-vire tous mes vieux codecs, divx, xvid etc, pour n’en re-installer que le strict minimum pour être sûr d’avoir un rendu parfait des mkv, qui persistaient à saccader dès la petite pointe de couleurs.
Voilà, c’est donc après tout ça que j’ai enfin le plaisir de profiter de films en HD et 5.1, autant vous dire desuite, la vidéothèque est assez pauvre, soit de gros blockbusters récents, soit de grands classiques de grand spectacle (se refaire Platoon, Full Metal Jacket ansi que la Trilogie Rambo a été un réel plaisir), et l’intérêt plus que limité pour des comédies, dramatiques ou romantiques, on assiste des fois à des horreurs en haute définition, notamment le maquillage à outrance de Nicolas Cage et ses faux cheveux en plastique sont extrèmement bien visibles (pour notre plus grand malheur), et on remarque aussi les petits excès de fond de teint, ou tout trucage mal bricolé, mais il faudra sûrement un petit temps à l’industrie du cinéma pour s’adapter au rendu visuel de ces nouveaux formats, des films comme Transformers passent au contraire haut la main niveau qualité, c’est même carrément bluffant, je dirais la meilleure incrustation que j’ai vue jusqu’à présent.
tl;dr =
1. J’ai acheté une Xbox 360
2. J’ai acheté une télé HD à tube
3. J’ai acheté un home cinema
4. J’ai acheté des cables et tout connecté à mon PC
5. PROFIT !!1!!11!!
Le plus compliqué pour écrire un post alors que ça fait 2 ans qu’on en a pas fait un vrai, c’est d’essayer de retrouver ces habitudes du début, celles qui lançaient la machine pour 30 pages pour raconter un coup de vent et trois gouttes de pluie. Je suis toujours parti du principe qu’une fois que c’était lancé, j’arriverai toujours à écrire des lignes de rien avec 2-3 blagues au milieu, j’ai même effleuré l’idée de pouvoir écrire des histoires plus longues qu’une page, mais force est de constater que le temps, la flemme, les millions d’idées jamais réalisées ont eu raison non pas de ma motivation mais plutôt de mes espoirs envers moi-même.
Alors quoi je fais des petits dessins, je les trouve moches, médiocres, je n’arrive pas à représenter ce que je veux, je les scanne puis j’arrête la post-prod au surlignage tellement je peux pas supporter de voir ces gribouillis immondes, oh, ça, je suis soutenu dans tout ce que je fais par Elise, mais l’idée même de finir un projet manuel me semble insurmontable, alors écrire ? oui ça j’ai un peu l’habitude, enfin, j’avais l’habitude, c’était facile à l’époque, puis finalement tout le monde m’a lu, la famille les amis le travail, j’éspère juste que ces gens ont peut-être abandonné l’idée de revenir régulièrement après tout ce temps sans nouveauté, et qu’ils ne connaissent pas le rss, parce que c’est finalement ça qui m’a freiné ces derniers temps en y repensant au calme, avant de faire un post, dire que ça vexerait untel, que ça serait mal compris par l’autre, et que j’en entendrais parler deux jours plus tard, forcément, ça motive l’auto-censure.
Donc pour reprendre un peu l’écriture, j’ai commencé à réflechir sur quel sujet j’avais vraiment des trucs à dire, et pas seulement une seule phrase autour de laquelle tisser pendant 525 lignes, il se trouve que c’est sur les jeux videos que c’est tombé, et ça me permet de faire quelques tests sur Gaming Since 198x, évidemment c’est pas des exclu que vous trouverez, mes idées ressemblent à celles de GameKult et NoFrag, mais allons, pourquoi ne rien faire parce que ça a déjà été fait ? Le principe c’est surtout je pense discuter de jeux entre gens de bonne compagnie.
Aujourd’hui j’ai même un autre sujet sur lequel parler qui ne soit pas des jeux et qui ne couvre pas ma vie privée plus que j’ai envie d’en déblaterrer. RDV dans le prochain post.