Comme c’est bien dommage
Parce qu’à part toutes les merdes, on a vu plein de gens super à ce CDF, et même si on pas reussi à piéger Titot, on a quand même des photos compromettantes de plein de gens du PPF (paysage paintballistique français).
Parce qu’à part toutes les merdes, on a vu plein de gens super à ce CDF, et même si on pas reussi à piéger Titot, on a quand même des photos compromettantes de plein de gens du PPF (paysage paintballistique français).
Photoshop, c’est terriblement efficace, n’est-ce pas Tessa ?
Hier soir, gruuuu, gruuuu, gros orage, on éteint les PCs, on débranche le modem, et on regarde quand même la télé, même si M6 en plein reportage sur la JetSet fait de la friture.
Alors, avec prestance je zappe sur la 1, y’a un vieux James Bond ultra revu, alors je remets la 6, un peu vite, et me retrouve sur la 16 (on a tous vécu cet instant de solitude), et là, surprise, MTV|2.
Oui. Depuis l’orage, on reçoit MTV|2 et Eurosport. Par le câble télé de d’hab.
Je sais pas comment ca marche, mais on a essayé de chercher d’autres chaînes, et rien, seulement ces deux là en plus, ce qui m’étonne, vu qu’il me semblait que MTV|2 allait de paire avec MTV tout court, m’enfin bon, je vais pas me plaindre, je vais pouvoir mater des clips de groov et de R’n’B maintenant !! (et suivre les tournois de tennis de table slovènes).
Début de préparation pour le Championnat de France 2003, départ pour Vichy vendredi 10h, recharge de toutes les piles effectuées (MD, app.photo, ..), entrainement de bisou pour quand on verra les copaings, préparation du portefeuille au cas où super truc mito spoted, bref, je reviens quelques mois en arrière, prêt à assister à un gros machin de paintball, ca me fait bizarre.
Heureusement, je joue pas, je vais pouvoir manger des crèpes et des chips tout le temps, trop bien =)
Seront présents :
bingirl
yangs
titot
samourai-seb
an-archi
eve
justic7
Et comme d’hab, dek\ il y sera pas.
pfffffff cuila alors …
il fera du t’chat. AGE. SEXE. VILLE. Terriblement efficace.
Maintenant je comprends pourquoi on dit que la Ligne Rouge et Private Ryan sont d’excellents films de guerre.
Moi qui suit fan de John Woo, c’est vraiment lamentable, même pas les figures de style d’un MI2, même pas le jeu d’acteur formidable de Volte/Face, décidément, c’est navrant …
Me tarde vraiment le Dernier Samouraï avec Tom Cruise, ca, ca a l’air vraiment joli.
Sauter, de colline en colline, je sens le vent dans mes cheveux, sur mon visage, ma peau, à chaque pas de géant que je fais, je suis envahi du silence, là haut, pas un bruit ne perturbe mon déplacement serein. Chacune de mes enjambées relève de l’exploit, celle-ci dépasse les 500 mètres, et l’autre atteint le kilomètre !
Je suis parti de chez moi, ma masure ne me suffisait plus, on m’avait promis à un bien plus haut destin, devenir l’élu de quelque chose, le héros de quelques uns, ou la nemesis d’un sorcier quelconque. Pas besoin d’oracle, de marque de naissance ou de vieux prophète pour me l’annoncer, je l’avais toujours su. Depuis mes 18 ans, il y a 3 jours, enfin, comme une libération mes pouvoirs ont apparu, je peux presque voler, je peux voir plus loin que l’horizon, sentir les baies du jardin royal derrière sa muraille monstrueuse, entendre le rire cristallin des courtisanes à la jupe retournée, et souffle rauque des vicomtes à l’ouvrage.
Je cherchais donc ma princesse, ou toute autre chose à sauver, car c’était par là qu’il fallait passer, non, pour devenir un vrai chevalier héroïque ?
J’avais ma faux, prête à tailler en pièces l’éventuel monstrueux gardien, je la maitrisais mieux encore que la Mort lui-même, après mes années passées dans le champ famillial, je l’avais préparée, aiguisée, décorée de gravures, une fine cordelette de cuir permettait à mes mains de s’y aggriper comme à une épaisse liane.
L’arme tournoyait dans le vent, au rythme de mes sauts gigantesques, je ne me sentais pas fatigué, c’était comme si j’avais toujours su faire ce genre de prouesses, hier, j’ai dit à mes parents à quel point je les aimais et qu’ils me manqueraient, j’ai cherché à revoir ma douce pour essayer une dernière fois de la convaincre de tenter le pêché avec moi, mais elle n’a pu saisir sa chance, qu’importe, la princesse sera sûrement moins frileuse avec son sauveur, et je comptais qu’elle arbore moins de verrues aussi.
La nuit tombe, bien que fatigué, je m’impose un arrêt dans un village d’éleveurs, sûr d’y trouver un bon morceau de viande de bovin, mes frusques sont poussièreuses et sentent une odeur forte et enivrante que seule la vitesse apporte. Une veste verte foncée, un pantalon beige et épais comme la peau d’un ours, une besace en cuir grossier, voilà les seules possessions qu’il me restait, plus quelques pièces pour survivre une semaine, mais j’allais trouver un trésor, n’est-ce pas ?
Une auberge, usée, habituée au passage, accueillante par son odeur de nourriture chaude, et ses lueurs orangées laissant présager un âtre confortable, mais repoussante par l’aspect de son patron, et de sa serveuse.
Il y a toujours des serveuses charmantes, généralement des anciennes nobles données en pature à un patron véreux. Mais ici non. C’est bien la fille de son père, son visage acnéïque porte les traces d’une adolescence débutante, et la purulence de sa peau n’a d’égale que le gras de ses cheveux, elle a de commun avec son géniteur une bedaine digne d’un porc, renforcée par le regard commun à ces animaux, c’est avec dégout que je pose mon postérieur sur un tabouret, à une table sale et contenant assez de restes pour nourrir une patrouille de nains des montagnes.
Mon steack commandé, deux hommes pénètrent dans la salle commune jusqu’alors vide. Le plus grand semble être une sorte de mélange entre un Ours, un Gorille et un jeune enfant de 8 ans. Ses yeux grands ouverts me scrutent d’un air curieux, la masse d’armes accrochée à sa ceinture pourrait bien me servir comme mât de cocagne, elle semble avoir servi à de nombreuses reprises, dont une très recemment à en juger la matière sombre émaillée de morceaux osseux qui la souille. La sorte d’ogre est accompagné par un jeune homme mince, presque malingre, dont le visage est caché par la capuche de sa cape bleu marine, elle aussi couverte de matière organique, ses mains s’accrochent à un fin bâton de bois précieux, serti d’une pointe argentée à la luminescence hypnotique. il marche d’un pas feutré, et glisse jusqu’au comptoir pour murmurer quelques mots au patron de l’établissement.
Ma quête ne peut pas être démunie de compagnons, ceux-ci ont l’air de roublards, aguerris, et si ils portent le sang de leurs victimes sur eux, c’est qu’ils sont suffisament malins pour rester en vie.
« Hé, aventurier, je suis un futur héros à la recherche d’une quête, si possible une princesse plantureuse à sauver, voulez-vous vous joindre à moi, ou m’accepter dans votre bande ? » les interpellais-je.
Je ne vis pas mais sentis le regard perçant du maigre, et l’ogre était trop occupé par la fouille de sa cavité nasale pour se permettre de m’écouter.
« D’accord. Paye ton vin. » Me répondit le maigre.
Nous prîmes une chambre commune, elle possédait 8 lits plutôt confortables pour le prix, et je fus accepté dans le cercle privé de mes nouveaux compagnons. Nous étions seul ici, c’etait le temps de manigancer. Le grand n’était pas un ogre, juste un homme qui avait vécu dans des contrées un peu rude, et où les humains n’avaient pas peur de fricoter avec des orques ou des trolls, sa mère avait visiblement plus de sang vert que rouge, mais il était d’une gentillesse exemplaire, dumoins envers moi. Il s’appelait Namelion, et son complice Vernelion. Celui-ci aussi n’avait pas le sang pur, mais le sien semblait venir des profondeurs sous-terraines des mondes noirs, il parlait en roulant les r, et semblait économiser ses mots comme s’ils lui coutaient un orteil chacun. Il était difficile mais pas impossible de lui faire décrocher un sourire, son visage était jaunâtre comme un hépatique, et il n’avait sûrement jamais du connaître une femme autrement qu’en la payant.
Mon humeur comploteuse fut coupée courte par, justement, la serveuse, qui venait offrir le deuxième service à Vernelion, comme convenu lorsque la chambre avait été prise. Ces pratiques semblaient courantes, je n’en avais bizarrement jamais entendu parler. Namelion et moi-même nous couchâmes, essayant de fermer les yeux et de boucher nos oreilles alors que le couple commençait ses ébats.
Au bout de quelques minutes, je ne resistai pas à jeter un coup d’oeil sur eux, cette énorme femelle et ce minuscule mâle devaient valoir le risque. Je ne fus pas décu du spectacle, la plantureuse serveuse était avachie sur le pauvre Vernelion, celui-ci ne semblait pas en souffrir, et conservait son allure impassible, alors que ses mains fouillaient l’entre-jambe de sa partenaire, et je me mis à imaginer l’état de celui-ci si on tenait compte de l’allure générale du monstre. La nausée me monta à la gorge lorsqu’elle émit un bruit grotesque annonçant le coït, son cou se relevant en arrière, dévoilant une infâme et crasseuse poitrine, flasque et couverte de plaques acnéïques rougeatres, je regrettai immédiatement ma curiosité et me retournai vers Namelion pour me retrouver face au spectacle désolant de sa masturbation, à peine voilée par un drap qui semblait un mouchoir sur lui, il m’aperçu avec les yeux écoeurés posés sur son bas de ventre, et dans une pudique timidité s’arrêta pour faire semblant de dormir.
Heureusement, la serveuse n’était pas payée à l’heure, et une dizaine de minutes suffirent à retrouver le silence et le calme dans la chambre, prêt pour un sommeil court et agité.
Peu après notre départ du village, Vernelion se décide à passer à l’interrogatoire que j’attendais déjà depuis la soirée précédente :
« Alors, c’est quoi ton nom ? me demanda-t-il l’air de rien, avachi sur la sorte de mule qui lui servait de monture
– j’me nomme Gnafron, comme dans le machin des marionnettes, c’est ma mère, elle adore les hommes avec des gourdins, notai-je avec ironie
– j’t’ai pas demandé l’histoire de ta famille, juste ton nom. Va falloir apprendre à pas trop l’ouvrir avec nous. »
Sa réponse sèche me coupa le sifflet pour le reste de la matinée, qui resta aussi silencieuse que si j’avais voyagé avec deux cadavres, l’odeur comprise.
Je me sentais bridé et ralenti par ces deux zigues, et je ruminais comment quitter au plus vite mes nouveaux compagnons lorsque le demi-truc émit le souhait de s’arrêter défequer dans les buissons, et c’est je pense le moment où j’ai touché le fond ; finalement, cette quête merveilleuse commençait gravement à sentir la vieille sueur et le nourriture racie. Je priai alors pour qu’un monstre quelconque, un conventionnel je veux dire, avec des longues dents et une haleine de feu, des écailles ou une peau verte, mais autre chose que ces horreurs qui constituaient mon équipe, attaque, s’en prenne au chieur et à maigrichon-la-mule. Peut-être était-ce une facette inexplorée de mon pouvoir, car au moment même de ma pensée impie, une roche de vingt bonnes tonnes s’écroula sur Namelion, le rendant à la poussière de la manière la plus efficace qui soit. Son collègue ne tardit pas à réagir, et en soldat d’experience talonna sa mule pour s’éloigner à toute bringue du danger, afin de monter un plan de contre-attaque, ou tout simplement se cacher sous la première pierre qu’il trouverait. Ce fut la pierre qui le trouva, et un nouveau menhir orna le chemin en seulement quelques secondes, Vernelion en ornant la base avec quelques bouts de mule.
Libéré de mes compagnons, je n’attendis pas la troisième roche pour sauter le plus haut possible, afin de detecter notre agresseur mais néanmoins bienfaiteur. Il ne fut pas difficile à repérer, géné par les branchages alentours, cette immense créature trollesque avançait vers ce qui semblait être son futur repas mais était à coup sûr mes anciens nouveaux compagnons.
Ma faux prête à ramasser la vile créature, je pris de la vitesse dans ma chute en me regroupant le plus possible, je savais que l’aterrissage ne me ferait aucun mal, mais il fallait que j’en profite pour réduire Trollolo, mon premier Troll, et mon premier monstre dans ma quête vers la chevalerie, en un hachis de blé dur, comme je l’avais si souvent fait dans le passé.
Je parcourus la distance qui nous séparait en une simple seconde, et rabattant ma faux dans le même temps, je pulverisai son corps simplement par la force de la gravité que j’entrainais et accelerais avec moi. La bête n’eut pas le temps de souffrir, ni même de comprendre, et je me retrouvai couvert de ses entrailles chaudes et rougeâtres. Pour la première fois, j’avais concentré cette énergie qui me sert habituellement à me déplacer pour exterminer une créature, et il en restait un cratère d’une dizaine de mètres de diamètre rempli de débris d’arbres et de bouts de chair pulverisés.
Je restai penaud quelques instants, réflechissant à la manière de jauger la puissance, et surtout au fait que je n’avais pas vraiment mis le paquet, étrangement, je n’éprouvais pas le dégout et le remords auxquels je m’attendais à la suite de l’assassinat d’un être vivant, à vrai dire, ca m’avait plutôt amusé, et rendu fier.
Maintenant, ma quête avait commencé, j’avais perdu mes premiers compagnons au combat, j’avais tué mon premier Troll, et je marchais avec fierté, arborant les restes coagulés de ma victime sur mes vêtements.
Comme c’était trop bien d’être un héros !
J’appelle plus pour râler sur quelqu’un qu’autre chose.
« Tututututuutu La Poste service client bonjour tapez 1 si vous êtes professionnel, 2 si vous êtes un particulier »
J’hésite à taper 1, sachant d’avance que si c’est comme à FT, seuls les professionnels sont réellement écoutés au 1013
« tuuuuuuuuut » (aka touche 2)
*5-6 secondes d’attente*
« Service client la poste Mme Bidule »
« Oui bonjour j’appelle parce que j’ai un courier suivi dans la nature depuis 12 jours »
« Son numéro SVP »
« 1Lxxxxxxxxxxxxx »
« Ah oui c’est un courier Free Telecom, d’accord »
« Et ? »
« Il est parti le 17 de Toulouse, mais il est toujours en agence, le prochain lot de courier Free Telecom passe en fin de semaine ou en début de semaine prochaine, selon les mouvements de grève »
« Mais ca fait 12 jours quand même »
« Que voulez-vous, il y a eu plusieurs journées d’action dont hier qui a vu un service minimal »
« Oui mais ca m’arrange pas et … bon, merci, aurevoir » < = là je me dis que c'est vraiment inutile de râler, que je vais m'énerver pour keud.
« Aurevoir ! »
Résultats ? FRANCE TELECOM ET LA POSTE = LE MEGA COMPLOT !!!
Franchement, ils font passer les couriers free telecom par lots, je veux bien, mais si les lots passent tous les 15 jours, là je dis complot quoi !
Savez-vous combien il est dur pour moi d’avoir un mp3 du moment en ce moment ?
En effet, je suis ici, tous les trous (ports) bloqués, je mets 1h à dégoter les vrais sites des turbines à pop-up Casino Partouche parmi mes résultats Google à mes requêtes contenant « download mp3 », et j’arrive sur des sites russes sur lesquels il faut payer au mp3, comme on achète un cheeseburger au McDo.
Non la musique n’est pas une marchandise !!
(oué bon si quand même surtout quand on cherche ..)
Shakira – Ojos Asi = voilà le mp3 du moment, j’ai lancé un doublé Overnet Shareaza sur le clip, le clip live, le mp3, le mp3 remixé et la version mexicaine, la venezuelienne, la portugaise de Lisbonne, de Porto, et finalement la Nicaraguaienne, mais depuis quelques jours, je fais face à la difficulté de dissimuler le bruit de ventilateur de 4L de mon PC, ce qui le banni à jamais de fonctionnement dans l’appartement, à part vraiment quand je suis dessus. Et encore, je peux pas lancer les peer to peer because que maintenant on joue sur internet et que ca fait lag (je dirais pas à quoi on joue, j’ai une réputation à conserver, mais sachez que c’est un jeu où FG est nul, où frouny parle comme une dictée magique, et dek\, ben dek\ .. il binde.).
Donc après maints efforts, j’ai récupéré le fameux mp3 de shakirouille, le voilà qui tourne en boucle, rien que pour rentabiliser les efforts qu’il m’a fallu fournir pour le trouver, en 128kps en plus, mais là on se plait pas.
Bon je pars à la recherche efrenée du couvercle de mon boitier ATX parce que là, ca peut plus durer, j’ai aucun nouveau jeu depuis une semaine, j’ai l’impression que je paye l’ADSL pour regarder mes mails.
A propos d’ADSL, vous ai-je parlé de mon amour de LAPOSTE ?
Le 28 Avril partait un recommandé avec AR pour Nerim, résiliant mon abonnement pour la fin du mois suivant (aka Mai), non pas par manque de confiance en ce fabuleux ISP (que je vous recommande plus que plus), mais pour des raisons économiques, c’est bien simple, en ne payant plus Nerim, je peux enfin prendre une mutuelle.
Je réussi tant bien que mal à convaincre ma coloc qu’il faut passer à Free, sous son nom, avec son RIB, et j’envoie le 16 Mai 2003 ma lettre suivie de demande d’abonnement à Free ADSL et donc implicitement de résilitation à Netissimo de France « My friend » Telecom.
Aujourd’hui, Mercredi 28 Mai, 16 jours plus tard, la lettre suivie n’a toujours pas fait le parcours Toulouse-Paris. Evidemment, comme vous vous en doutez, si la lettre n’arrive pas bientôt, avant la fin du mois par exemple (ca va être dur vu qu’il y a un jour ferié et un week-end), je suis bon pour me repayer un mois de Netissimo à 25 Euros (ca fait 1000 billes tout de même, ou deux bons DVD chez CDiscount, voire un peu d’essence pour aller au travail), en double avec l’abonnement Free ADSL à 30 Euros qui va (quand même j’ai de l’espoir) sûrement arriver dans le courant du mois de Juin.
Phrase pour tasser l’effet = vu que je payais 25+15+6 = 46 Euros actuellement pour l’ADSL, ce mois-ci je vais payer 25+30+6 = 61 Euros, ce qui finalement à peine 15 Euros plus cher que d’habitude.
Mais là où la grève est belle, c’est qu’il est forcé que France Telecom se trompe, et que donc dans la mouise du calcul, ils me rajoutent 50 ou 100 Euros par-ci par là. Je te les attends au tournant moi ceux-là, tu vas voir.
Je dirais que le plus frustrant dans l’histoire, c’est le manque total de recours; à qui me plaindre ? A La Poste ? Ils me répondront que je n’avais qu’à envoyer un recommandé avec AR si je voulais être sûr, que le courier suivi n’a pas de garantie d’arrivée, qu’une enquête pour connaître son emplacement sera lancée, et que j’aurais les résultats dans les 8 jours, à France Telecom ? Ceux-ci seront bien trop heureux de me dire qu’ils ont fait la résiliation quand ils en ont reçu la demande de Free, et que c’est indépendant de leur volonté, à Free ADSL ? Ils recoivent rien, que peuvent-ils faire pour moi sans preuve matérielle du RIB ? Dans tous les cas, c’est trop tard, et tout la sueur et le stress valent plus que ces 15 malheureux Euros disparu sur l’autel de la grève que j’ai passé des heures à essayer d’expliquer à la tartofrez.
Au total, donnez à manger à un chien, il vous bouffe la main.
.. ou l’histoire d’un pur produit marketing…
Je parle bien du jeu tiré de Matrix, oui !
Pas du film lui même ;)
Alors desuite, ca commence, avalanche de moyens, les vrais acteurs dedans, presque tout le casting du 2e film, avec des scènes inédites etc. Bref, tout parti pour faire un top selling, et c’est sûrement ce que ce sera.
Mais dès les premières minutes de jeu, on sent l’aspect non-fini, les petits bugs, la 3D bon marché, les contrôles minables, et le gameplay à chier. Pour exemple, la magnifique aide in-game me propose d’utiliser pour attaquer deux ennemis à la fois, la fameuse commande « jeter ». Après de nombreuses recherches dans les options, les fichiers de config, force est de constater que la commande « jeter » n’existe pas, tout simplement.
Evidemment, la motion capture est bonne, mais dans quel jeu actuel ne l’est-elle pas ?
ETM a un relent de Max Payne mal fini et bien moins bien fait, là où le bas blesse c’est que Max Payne est un bon vieux jeu maintenant, et qu’il était vraiment mieux réalisé.
Malgré tout, ca fait plaisir de voir quelques bout de Matrix en video tout au long du jeu, et le scenario est vraiment bon, donc ca se laisse jouer diras-t-on ..
3.3 Go installé tout de même, et faut pas mettre ca sur le seul compte des videos .. shame.
Un nouvel article dans PaintOMatic !!
Qu’il est boooo .. (on fait sa pub comme on peut)
« L’insulte est l’arme du faible, elle n’atteint le sage que lorsqu’elle est assortie d’un coup de poing virulent »
Je suis une roche plate, longue, et solide, coule sur moi tel le torrent, frappe, hurle, rugit, je me déformerai, je m’étalerai, je m’éroderai, mais jamais je ne serai détruit, jamais ta force courte et brève n’atteindra ma rigueur et ma patience, viendra un temps où ta source sera tarie, et où je profiterai du soleil et de la pluie à ta place, viendra l’heure où l’on puisera ton énergie sans affecter la mienne, et dans ton empressement, tu ne te rendras compte que trop tard que tu finiras mélé à l’océan de tes semblables, souillé, agité et anonyme au milieu du vide.
Aussi sûr que je suis pour toujours, et que jamais tu n’atteindras la profondeur de mes émotions et l’importance qu’a pour moi le fait de simplement réflechir, je pense que tu peux éviter de t’embarasser à perdre du temps à essayer de m’insulter en esperant voler un instant de mon attention.
« Ou sinon on sort dehors que jt’rentre dedans, baltringouze, chien de ferme, et sac à foutre » (©Néné)
Et si je recommençais à écumer les blogs d’adolescente ?
OUAAAAAIS !!
Enfin je veux dire les vraies, celles qui passent plus de temps à se congratuler le layout entre elles quoi !
Ma petite soeur ressort tous les midis cette chanson, et c’est bien la seule chanson qu’écoute ma petite soeur qui me donne pas envie d’arracher le crépis beige des murs de l’entrée.
Faut dire j’ai eu ma période L5 à donf, et je rechigne pas à en écouter (quand j’ai la permission de mettre de la musique aka quand je suis seul à l’apparte ;p) à haut volume.
Je me demande si en faisant ca à minuit, le voisin comprendra que jouer de la guitare en chantant jusqu’à 1h du mat, c’est chiant …
Ai-je perdu de ma mièvre-man att1tud3 ?
Je sais pas, dans tous les cas, je me sens bridé, bridé par irc, bridé par mon compte en banque ridicule, et ca se ressent dans plein de domaines.
La solution ? Est-ce que j’ai vraiment besoin d’une solution ?
Je pense que l’été qui vient va m’aider à trouver plus de temps à glander, la fin des crédits qui me bouffent va me donner quelques liquidités, mon boulot va évoluer .. etc .. bref, comme d’hab, je me laisse la surprise de l’avenir, c’est bien la seule chose qui me surprenne encore (à la limite, c’est la définition même de la surprise de pas savoir ce qui nous attends hein, asticot (oui je m’auto-traite)).
C’est quand même vachement bien Internet, j’ai passé un peu de temps à comparer les installations de Linux possibles sur des ordinateurs portables faits pour windows, j’ai cherché et trouvé une mutuelle qui me donne des prix honnêtes en moins de 2 minutes, qui me demande pas de poirauter 2 heures en attente au téléphone avec de la musique de chambre pour me faire un devis, bref, ca roule un maxouse.
Malheureusement, contrairement aux temps passés, impossible de trouver des sites de mp3 par http ou ftp « 0-Day » comme on disait de mon temps, pas moyen de dégoter un moyen rapide de choper les 2000 Euros nécessaires à mon bonheur informatique, ni même les 1500 Euros nécessaires à mon bonheur vidéo et encore moins les 300 Euros nécessaires à mon bonheur téléphonique polyphonique couleur.
Oué en fait Internet ca suxroule.
Voilà, j’ai supprimé Linux de mon systême.
La fin ?
Non. Je ne suis vraiment pas fan du Dual Boot, j’éspère maintenant que ma supplique pour un PC Portable soit entendue, et je pourrais *enfin* travailler sur Win et Lin en même temps .. LE RÊVE !
Mon ambition professionnelle, c’est être homme au foyer.
Y’a pas mieux que ca pour faire râler la tarto, mais pourtant c’est vrai, moi je me sentirais bien à m’occuper de la maison et des gosses, et de gérer mon temps comme je le sens.
Attention, homme au foyer ca veut pas dire rien branler, ca veut dire se lever à 7h pour préparer les gamins et les amener à l’école, faire des courses, faire un peu de ménage le matin, préparer le repas de midi, aller chercher les gosses à l’école, les faire manger, les ramener, ranger, faire un peu de ménage, quelques courses, retourner à l’école, s’occuper du repas du soir, faire faire les devoirs, bref, s’occuper de la famille autrement qu’en ramenant du flouze au foyer.
Perso, ca me va.
Evidemment, je ne negligerai pas de prendre une petite pause devant un bon DivX, de tester le dernier jeu, d’écouter des mp3, d’idle sur IRC, de nettoyer mon IR3, mais au moins, je gère mon temps autrement que pour rapporter un salaire.
C’est ptet de là que vient cette lubie, que j’ai pas envie de rentrer dans la spirale « mon salaire n’est jamais suffisant », que l’ambition m’insuporte, oh, je n’ai pas de problème avec la hierarchie, à vrai dire, je pense même que c’est une très bonne chose qu’il y en ai pour diriger et d’autres pour executer, chacun a une part de travail bien chiante, mais au final, gérer une famille, je trouve ca plus valorisant que même programmer des instructions de vol pour un satellite météo qui sauvera le Bangladesh.
En plus, j’ai tellement vu de gamins tordus dès 2 ans parce que leurs parents s’occupent mal d’eux, que je ne supporterai pas de laisser planer un doute quant à l’éducation de mes enfants, ou quant à la présence parentale auprès d’eux.
Allez, va, on en reparlera plus tard, c’est pas vraiment d’actualité tout ca hein.
C’est pas possible, il va finir par toutes les bayzay cuilà
Je ressens ostensiblement le besoin de travail sous Linux ET Windows en même temps.
Après echec des tentatives d’émulation de l’un sur l’autre, je me suis mis à désirer un 2e ordinateur sur mon lieu de travail, associé à un 2e écran afin de mieux gérer ma bi-partialité, et mon besoin d’avoir les fonctionnalités et l’adaptabilité d’un Linux et en même temps d’avoir Photoshop, Dreamweaver et toutes les saloperies window-esques que j’adore.
Ce rajoute là-dessus la découverte de nouveaux ordinateurs de super qualité en mode « portable ». Bref, je souhaiterais avoir un portable sous Linux à mon taf.
Maintenant, le plus dur va être de trouver le moyen de convaincre mes chefs qui me voient comme un branleur, le responsable info qui va me trouver bien trop exigeant pour simplement faire quelques petits sites, et tout le monde qui reste du bien fondé de mon besoin.
Ralalala … je sais bien comment ca va se passer, je vais me retrouver avec un Toshiba blanc de 1986 sur lequel « Linux peut très bien passer » et on va me reprocher de pas être content. Remarque, je l’aurais bien cherché ..
Me reste plus qu’à gagner au loto pour l’avoir ce portable ..
Voilà donc mon premier site entièrement consacré au Paintball.
J’ai voulu y méler beaucoup de ce que j’aime, ce n’est donc pas un site purement informatif, mais totalement mito, bref, du pur vent, mais ca me tient gros sur le coeur.
Paint’o’Matic (PoM) est aussi mon premier site perso table-less, w3-valid et css-layout. Si si promis, vous pouvez vérifier (bon ok le css valide pas à cause des scrollbar color, mais le reste, c’est bon hein).