Pouka Pouka
Y’a rien de pire que de rentrer d’une session de paint parfaite pour se retrouver face à de la bouze.
Internet m’exaspère, honnètement, en quoi je crois ? Jusqu’à quelques heures, je croyais en l’humanité, je me pensais pas trop perdu, disons carrément sociable.
Maintenant, je pense qu’une fois encore, je me suis ramassé, comme une merdasse, mais alors, paf, sproch, schmoukt ca pue grave.
Maintenant je pense que je vais orienter encore plus ma vie qu’avant vers la bille, cette putain de bille, la boue, les slides, les sup’air ball et la boularde. Tout pour la team, tout tout tout. Le reste, ca n’apporte RIEN, RIEN, RIEN.
La team a besoin de toi, tu es là, tu as besoin de la team, elle est là. Ca chie dans la team, on crie, on en parle, et les problèmes sont résolus, on avance.
C’est la seule chose qui avance dans ma vie, tout le reste recule, pourquoi m’orienterais-je vers quelques chose qui recule, qui est branlant, hésitant, voire carrément contraire ? Les choses sont brutes, c’est ca, ou c’est pas ca. Tu pokes, ou tu te fais poker, tu gagnes, ou tu perds. Blanc ou noir, avec moi, ou contre moi, être manichéen, c’est la seule chose qui évitera les déceptions.