Philosophe es-furoncles
Mon oncle, mon oncle, dis-moi par quel hasard je me retrouve attaché à ce radiateur, par quel hasard cette caméra me filme, raconte moi l’histoire qui m’a mené en ce lieu.
Ma nièce, ma nièce, sais-tu que quand le printemps vient, les hommes subissent la poussée qu’Euclyde a appelé de jeunesse amoureuse ?
Cette excuse est piètre ! Oncle !
Je ne suis que ton oncle par alliance, en aucun cas l’inceste ne sera clamé pour me condamner, et de ton âge je suis proche par 6 années.
Admettez mon oncle par alliance devenu, que 6 années lorsque qu’on en a juste 18 révolues, sont comme une éternité passée à murir vos lubriques idées.
Ne t’encline pas tant au désespoir, nièce, cette caméra n’est ancun cas posée pour filmer nos ébats, ni même pour pousser ta timidité à mal, au point que tes jouent rougissent à ton émoi,
Elle est ici car dans le grenier, après le labeur d’une journée, j’ai eu la paresse de la ranger, n’aie crainte, soit rassurée.
Oncle, votre ruse n’est pas là pour oter ma peine et ma peur, je crains pour ma virginité, et pour mon avenir psychogique et sexuel, si par malheur vous osez me violer.
Insulte à mon égard ! je n’ai que d’amour envers toi, et ta beauté est pour mon amour balloté sur la mer de mes sentiments houleux comme un phare, illuminant mes jours à tes cotés, brûlant mon torse à chacun de tes regards, soit mienne, dévoile moi tes sentiments, que je sois certain de mes actes
Mon Oncle !
Tes « Mon » rajoutent à mon excitation, je suis tien, dis moi ce que tu souhaite, je suis à toi sur tous les plans, nièce !
Mon Oncle ! Oncle ! Voyons !
Encore ! Je ne m’en lasse point !
Oncle, vous marchez sur mon pied, et avec vos docks coquées, force m’en est d’avouer, que ca fait mal à en chier. Connard.